dimanche 23 juillet 2006

The Corrs : MTV Unplugged

C'est presque sur un plateau que je vous amène cette suite de vidéo, et, c'est de mes doigts frébrillent que je vous les présentent !

Si vous êtes un tant soit peu musicophile, vous devez connaître The Corrs. Même si personellement, j'en entend plus parler ces dernier temps, il fut une époque où elles faisaient régulièrement le top 50. Si vous ne les connaissez pas, où si vous n'aimez pas les chanson après avoir écouté celles qui suivent, je vous conseil de regarder attentivement les chanteuses: l'une d'elle à été élue la plus belle femme du monde par un journal américain il y a quelques années. Et je dois dire que, même si je partage pas totalement cet avis, je le comprend parfaitement !
Parlons maintenant des MTV Unplugged. Il s'agit de concert un peu spéciaux organisé par la chaine de télévision. En fait, le concert à lieu dans une petite salle où le publique est juste aux pieds des artistes ! Enfin, pour moi, ces concerts sont des gages de qualités.
Je vous ai mis ici l'intégralité (à une chanson pret... sniff) du MTV Unplugged des Corrs. Certaines des chasons qui sont chantées sont mythique. Je parle bien sur de Everybody's Hurt ou Run Away.
Pour agrandir les clipcs, cliquez sur leurs titre.




















































1. Only when I sleep













2. What can I do?













3. Radio













4. Toss the Feathers













5. Runaway











Si vous aviez la vidéo...
6. Forgiven, not forgotten













7. At Your Side













8. Little Wing













9. No frontiers













10. Queen of Hollywood













11. Old town













12. Lough Erin Shore













13. So young













14. Everybody hurts

mercredi 19 juillet 2006

Ghost in the shell



Quel sera pour vous la prochaine révolution technique qui changera nos habitudes? Il y a quelques millénaires, ce fut le feu, qui apporta la cuisson, un avantage certain face aux prédateurs et autre. Un peu plus récement, il y eu la voiture ainsi que l'électricité (et avec elle, la foule d'appareil ménager qui vinrent faciliter le quotidien). Ensuite, la révolution suivante fut apporté par la création des transistors : les ordinateurs. On se situe alors dans les années 50. L'apparition des ordinateurs changea beaucoup de chose: désormais, les caluls ne se font plus à la main, mais de plus en plus à la machine. Autant dire que tout ce qui est ingénieurie à du être soulagée de cette invention ! Mais bon, c'est vrai que cela ne touche pas vraiment notre quotidien.
Enfin, la dernière évolution en date est pour moi l'apparition d'internet. Et oui, je fais parti de ces gens qui n'imagine pas la vie sans internet ! (comment il faisait avant? :-p). Plus sérieusement, internet s'ancre de plus en plus dans le quotidien. Certe, on peut vivre sans jamais toucher un PC. Mais, bon, sans faire l'apologie du net, cet invention apporte bien des petits plus par ci par là qui peuvent bien rendre accro ! lol.
Donc, pour revenir à la question initiale, quel sera pour vous la prochaine révolution technologique de notre quotidien? Les plus grands gouvernements du monde crie haut et fort que ce sera les nanotechnologies. Ils y investissent des milliards: c'est presque une course technologique qui c'est lancée sur le sujet. Mais, honetement, je vois très mal comment des nanomachines pourront changer mon quotidien. On aura des matériaux nouveaux, certes, plus de possibilité, mais, est-ce réellement un changement au quotidien? Est-ce que cela va réellement créer de nouvelles habitudes? Je doute un peu, je vous avoue.
Pour moi, la prochaine révolution sera... la pensée. Et vi, ca peut sembler science-fictionnel comme idée, illusoire, celle d'un doux réveur qui à trop longtemps regardé des films des années 60. Pourtant, je maintient mon idée, mais, il me faut argumenter je pense !
Cela passe plus ou moins inapercue, parce que pas forcément spectaculaire, ou pas au gout du jour, mais, de nombreux progres sont fait au niveau de la pensée et du cerveau. Truc tout bête, cela fait des années que l'on peut savoir si quelqu'un ment ou pas (bon, avec un certain taux d'ereur), sans passer par le detecteur de mensonge. En fait, on regarde les zones de son cerveau qui sont stimulée, et, en fonction de, on peut savoir s'il ment. Il existe de nombreux exemple comme ca. En fait, si on est pas capable de lire les pensée, on peut presque les voirs à l'heure actuelle.
Mais, les choses ne s'arrete pas là. Il est désormais possible de controler les objets par la pensée ! Pour vous en persuadez, lisez cet article :

Vie Artificielle : Contrôler les objets par la pensée!

Je suis d'accord, pour l'instant, c'est moche comme tout et sa sort tout droit des premiers épisodes de Star Trek. Mais, bon, la technologie n'en est qu'a son début. Après tout, un ordinateur des années 50 aurait du faire la tialle d'un terrain de foot pour avoir la même puissance que le mien ! (à peine exagéré !).
Personellement, je ne sais pas si ce sera une bonne avancée. Après tout, il s'agit d'une méthode invasive, necessitant une opération qui devrait être de moins en moins lourde avec le temps certe, mais pas forcément réversible... A terme, ce que l'on voit dans les films de SF où les gens sont tous relié à un "réseaux" par la pensée pourrait devenir réalité. Et, j'ai vu suffisament d'épisode de Ghost in the Shell pour être parano à se niveau là.

lundi 17 juillet 2006

Vol 93

Je viens tout juste de voir ce film et ... ouah !
La dernière fois qu'un film m'a fait un effet comparable, c'est Million Dollar Baby, pour vous dire !

Vol 93, c'est l'histoire de l'un des 4 avions qui ont fait la une du 11 septembre 2001. Deux de ces avions se sont écrasés sur les tours du World Trade Center et un autre sur le Pentagone. Le quatrième connu un autre sort. Vous vous en souvenez peut-être pas, mais, ce quatrième avion visait vraisemblablement la Maison Blanche.
Grace aux téléphones de bord, les passagers ont pu discuter avec leur famille, des proches ou la police. Ces témoignages audio, en "direct", on permit de reconstitué ce qu'il se passait dans l'avion, comment les passagers, lorsqu'ils ont compris que comme les autres avions qui se sont écrasés ailleurs, leur vol était un vol suicide, ont essayé de reprendre le control de l'avion... Malheureusement, l'avion c'est quand même écrasé, en pleine campagne...





Ce qu'il y a de vraiment d'impressionant et d'émouvant dans ce film est bien plus que sa réalisation. C'est les moments par exemple où l'on voit cette jeune fille appeler ca mère et lui dire qu'elle va sans doute mourrir et qu'elle l'aime, et que derrière on se dit que ce dialogue à vraiment eu lieu. Là, on ne peut s'empecher de serrer sa bouteille de Fanta, luttant contre une espèce de frustration montante. Ici, on ne comprend rien, on est pas prit sous le suspens, on ne découvre pas grand chose. On assiste juste au drame. Il n'y a pas de suspens, pas de "nan, ca va pas se terminer comme ca !". Il y a juste cette main crispée sur la bouteille, l'accoudoir ou le bras de la personne qui nous accompagne qui trahissent ce que l'on ressent. Et, quand tout ce termine, quand les images de cette campagne fonçant vers nous laissent place à des mots sur fond noir du réalisateur, on ne peut rester que silencieux, presque heureux que ce soit la fin. Si la réalisation y est pour beaucoup, ce qui marque vraiment, c'est qu'il s'agit là d'une histoire vrai.

Enfin, voila. Ce que l'on peut regretter dans ce film, c'est peut-être deux trois détails par ci par là. L'américanisme habituel qui rempli ce genre de film est plutot discret ici, ce qui est plutot surprennant. Les terroristes eux mêmes sont présentés comme de simples hommes, pas vraiment diabolisés. Ca aussi ca fait parti intégrante du "drâme". Lorsque l'on voit ce gars à lunette fine monter dans l'avion, ce gars qui pourrait être tout aussi bien moi que vous, habillé comme un jeune cadre, avec des lunettes lui donnant un air timide, et cette lueur d'incertitude dans le regard, on a beau essayé, on arrive pas à le diaboliser comme on l'aurait fait dans un autre film. A ce propos, l'un des passage les plus "beau", est celui où, le réalisateurs montre les terroristes qui citent le Coran, et en même temps quelques passagers récitant un "Notre père", avec une musique en fond... Ces hommes et femmes qui font appel à la religion, à Dieu, pour les soutenir dans ce moment... on sens que les terroristes sont aussi humain, avec leurs peurs, leurs doutes sur la réussite de leur mission et leurs frayeurs. Là où ce film est vraiment réussi, c'est que pour moi, diffusé chez les partisants de ces attentats, il pourrait aussi passer pour un drame... celui d'hommes qui avaient un but, une raison de vivre, un idéal, et qui n'ont pas réussi à l'attendre. Le fait que ces hommes ont été formatés, conditionnés pour faire ca, rend la chose encore plus... bref, voila.

J'vous jure: c'est con la guerre.



Lien allociné: Vol 93
Site officiel : www.vol93-lefilm.com


PS : je reviendrais bientot sur le sujet avec quelques petites questions interessantes sur l'avion du pentagone !

samedi 15 juillet 2006

Black Glasses

Est-ce que vous reconnaissez tout les films?

mercredi 12 juillet 2006

Hotel California

Il était à peu près aux alentours de deux heures. Je sortais de mon stage en compagnie de Christophe et de Clément pour aller manger. Après un bref débat, il fut décidé d'aller à la pizzéria (notement parce qu'il ne restait plus rien à manger au resto U !). C'est donc joyeusement (enfin, plutot "flemardisement", mais, ce terme n'existe pas dans la langue française!) que l'on arrive devant le restaurant et que l'on commande nos part de pizza (2.60€, un prix que je trouve respectable pour la part que l'on a). Bref, on s'assoit à une table pour manger tranquilement, et l'on discute un peu. Puis, au détour d'une phrase, Clément et moi on s'arrete, et on écoute les premiers notes de la chanson qui passe en pensant tout de suite à une chanson que on adore: Hotel California.
Il s'avérra que ce n'était pas Hotel California, mais une autre chanson, insipide et sans intéret. Elle reprennait juste les premiers accord dans son introduction mais tout le reste n'avait rien à voir ! Et, depuis cet instant, je sus que je ne pourrais trouver le repos sans réécouter Hotel California en entier.

C'est pour ca que je vous passe la chanson:



Il existe une version de cette chanson en concert:



Enfin, je ne peux pas terminer ce post sans parler de Hotel Comissariat, la reprise de Gomez & Tavarez ! Mais, malheureusement, elle est pas sur radioblogclub.com...

dimanche 2 juillet 2006

Bilan M2 (année scolaire 2005-2006)


The Verve - Bitter Sweet Symphonie


Voila, c'est la fin de l'année. J'ai réussi mes exams et obtenus le M2 que je voulais. Il est donc temps de faire le bilan de cette année ! Et, malheuseusement, celui ci n'est pas franchement rose !

Quels sont les évenements que je retiendrais de cette année? Tout d'abord, le bordel du début d'année (cf Rentrée désorganisée). Il ne fut qu'une introduction aux évenements qui allaient survenir plus tard dans l'année ! Ensuite, presque naturellement, vint les épisodes des violences urbaines (cf Urban violence) et l'apogée de Nicolas Sarkozy (cf War Against Terror). Et puis, il eu ce volcan au sud des USA et les américains qui démontrèrent qu'ils pouvaient attaquer n'importe qui sur Terre et délaisser ces propres habitants (cf 4 jours).
Enfin, il reste le blocage, beaucoup plus marquant sur bien des points ! En fait, pour moi, ces deux mois passés à rien faire n'ont pas vraiment eu un effet bénétique, bien au contraire... Le seul point positif peut-être fut que, grâce au forum de notre master, il y eu plus de communication dans notre promotion. On commenca à discuter d'avantage entre nous, à mieux ce connaitre. Enfin, si, un deuxième point positif ressorti de ces deux mois, mais, j'en parlerais plus tard :-).

Donc, comme je disais, ce blocage nous avait cassé. Au niveau du moral, ca n'allait pas fort. Assister aux parodies de démocratie que sont les AG, affronter les pro-blocages et leurs railleries à ces moments là, l'inactivité et l'incertitude permanente, le danger de voir l'année scolaire annulée grandir sans rien pouvoir faire... De temps en temps, on se retrouvait tous ensemble, et ca nous faisait beaucoup de bien. Mais, lorsque c'était pas le cas, lorsqu'il y avait pas une AG ou une occasion quelconque pour ce voir... Bref, je pense que je ferais une retrospective sur le blocage dans pas longtemps.

Ce qu'il en est ressorti du blocage, ce fut, entre autre, la démotivation totale à la reprise des cours. Et, dans mon cas, quand je parle de démotivation totale, c'est totale. Aller en cour était devenue particulièrement chiant et lourd. Je ne suivais rien du tout en cours, dormant dès que le prof ne me regardait pas et arrivant systématiquement en retard.

Tenez, les cours... L'année dernière, j'avais trouvé les cours carrément géniaux ! Rares étaient les cours que je trouvais réellement soporiphique. Alors, je vous raconte pas ma déception en découvrant le master ! J'ai trouvé les cours particulièrement très lourd ou ennuyant. Je crois d'ailleur que j'ai pas arrété de m'en plaindre (désolé pour ceux que j'ai pu saoulé ...!).Je me levais le matin, c'était pour arriver plus ou moins à l'heure, me poser sur un banc d'amphi ou une chaise, et commencer à dormir pendant deux heures. Réellement. C'est à dire que je me levais pour dormir. De temps en temps, j'écrivais du cour, mais, la plus part du temps, je me contentais de fixer le prof des yeux, le suivre du regard et acquiesser de temps en temps pour faire style je suis. Mais, derrière, je dormais. (imaginez ma surprise à la fin du semestre lorsque je voyais que j'avais quand même des cours plus ou moins complet !). Quand j'ai pris conscience de cela, ca m'a énnervé. Les cours n'étaient pas interessant et les profs pas toujours très pédagogique. Et, après le blocage, ce fut pire en fait... Biensur, quelques cours étaient interessant (comprendre: quelques cours étaient moins ininteressant que les autres). Mais bon, d'une manière générale, cette année m'a grandement déçue d'un point de vue scolaire. Il n'y avait rien de motivant. Et puis, le niveau des examens... J'ai jamais été un élève très doué: quelque soit l'année, j'ai toujours eu entre 11 et 13 de moyenne à peu près. Et, ce, quelque soit la difficulté. Cette anneé ne fit pas exception. Pourtant, le niveau des examens me donna envie de pleurer. Quand faire un excercie un peu compliquer est inimaginable parce que l'on ne l'as pas vue en TD... pour un master, je trouve ca très bof, blocage ou pas ! Bon, j'arrète là parce que je sens que je vais m'énnerver sur le sujet. Sachez qu'avec tout ca, j'ai eu mon année avec mention. Croyez moi ou non, mais, j'en tire aucune fierté, plutot du dépit...

Ah ! je viens de trouver un point positif à cette année ! Il s'agit de mes jobs ! Et vi, cette année, j'avais décidé de travailler. J'ai ainsi cumulé différents jobs. J'ai donc été professeur à domicile et moniteur dans une classe.
En tant que prof, j'ai eux deux élèves: Laurène et Selim. Laurène est une charmante demoiselle qui passe en seconde. Selim lui au contraire passe en quatrième. Tout les deux sont plutot très intelligent (je vous assure, c'est impressionant quand ils s'y mettent... Ptet que ca vient du prof? :-p) et Selim est impressionant par sa culture... ! (et son shoot au pistolet à bille, mais, ca, c'est autre chose ^^). Au premier semestre, je leur consacrais trois soirs par semaines. J'y allais à la fin de la journée, les jours où je finissais tôt. Au final, je rentrais tout les soirs de la semaine après 20h. Pourtant, j'étais vraiment heureux d'y aller. C'était à peu près les seuls moments interessant de ma semaine !
J'ai aussi fait moniteur. Il s'agissait d'encadrer des étudiants durant des TD d'informatique (word et excel... !). Une semaine, il avaient des cours par le prof, et la semaine suivant, des excercices (le prof n'étais pas présent: on était tout seul). J'ai eu ainsi quelues 15 étudiants dans ma classe. Là aussi, c'était génial et très interessant. Mais, c'était que 3h toute les deux semaines :-(.

Sans transition (Décidement, ce post n'est vraiment pas structuré !). Il me reste enfin à terminer ce post sur une dernière chose. J'ai dis que cette année à été franchement lourde au niveau des cours (et quand ils vous prennent tout votre temps, ca a le temps de bien vous casser votre moral), et que l'un de ces seul point interessant était le fait que j'enseignais à des élèves que j'appréciais beaucoup.
D'un point de vue amitié, il se trouve que les choses furent laborieuse. Et oui, pour des histoires que je ne raconterais pas, différentes tensions sont apparuent dans notre petit groupe. Et c'est pas toujours facile à gérer, croyez moi. Surtout quand on a pas envie de prendre parti ni de juger. Après tout, mes amis sont tels qu'ils sont, avec leurs avis, leur opinions et leurs façon de voir les choses. Différents, je les apprécierais moins !
Bref. D'un point de vue amitié, ce fut pas la panassée ! Ce fut laborieux. Et, tandis qu'une certaine demoiselle prit de plus en plus d'importance pour moi (n'allez surtout rien voir derrière cette phrase svp), j'eu de moins en moins de contacts avec deux autres demoiselles qui me sont importantes. Toute deux se reconnaitrons. La première est partie loin, trop loin. La seconde en revanche, est relativement proche, à de coups de roller de chez moi. Mais, je me suis appercu que je lui ai jamais dis qu'elle me manquait bien plus qu'elle ne pouvait le penser...
J'aimerais juste terminer en disant que, en tout cas, j'ai passé une année excellente en compagnie de Clément et Christophe. Nos barres de rire ont été peut-être le meilleur point positif de cette année !

Voila, ce post est terminé. Il est volontairement flou sur certain point. Peut-être parce que le présent l'est aussi?
Je me suis demandé quel chanson mettre pour ce post. Et, j'avoue que j'ai un peu cherché, avant de tomber sur celle là. C'est la chanson préférée de Clément, et, c'est donc en spéciale dédicace que j'ai mis The Bitter Sweet Symphony de The Verve.